J’avoue râler souvent sur la qualité pour le moins douteuse de beaucoup de bouchons en liège. Outre les inévitables bouteilles dites ‘bouchonnées’, il faut compter également avec les bouchons friables, les bouchons archi-imbibés, les bouchons trop courts, les bouchons mal imprimés, etc…
Heureusement, il y a aussi de beaux contre-exemples: 9 années passées dans un goulot et pourtant la forme, l’élasticité, l’impression, le toucher, l’absence d’odeur parasite…nickel !
Malartic-Lagravière (blanc) 2004: ce qui ne gâche rien, c’est que le vin était au niveau du bouchon !